Beaucoup d’amplificateur m’ont fait pleurer, des fois de rire, parfois de désespoir, souvent de chagrin.

En ce qui concerne Les amplificateurs HEGEL, il est vrai que j’ai pleuré lors de la première écoute sur mes nouvelles Pierre Etienne Leon THESIS. Était-ce la Caballe hurlant « muori, muori »  dans Tosca ?

En fait,  je pense avoir pleuré sur mon sort… pourquoi avais-je attendu si longtemps pour écouter enfin un ensemble de cet acabit ?

Mais revenons un peu sur la marque:

L’histoire commence en 1988.

Bent Holter – étudiant à l’Université technique de Trondheim (NTNU) a décidé de faire sa thèse sur une conception originale du transistor qui permettrait de remédier aux problèmes des systèmes classiques des amplificateurs.

Ennemi numéro un – distorsion harmonique. Holter ne pouvait pas accepter le fait que lorsque nous donnions un signal simple à l’amplificateur, vous obtiendrez ce signal et quelque chose d’autre – la distorsion –  produite par l’électronique. Combattre la distorsion signifie généralement la détérioration d’autres paramètres, y compris le facteur d’amortissement.

Holter a donc décidé de briser les schémas classiques et a développé un projet qui est devenu la base de ce que nous connaissons aujourd’hui sous le nom de « SoundEngine Technology ».

Aujourd’hui, Hegel est présent à L’AUDIOPHILE avec le HEGEL H90, le Hegel ROST et le HEGEL H360 et les trois ont une place d’honneur, place réservée au produits qui nous bouleversent musicalement, qui nous font tomber du fauteuil dès la première écoute et qui nous empêche de nous relever à la 100eme.